Askar a dansé pour la Paix

Thématique actu

Askar a dansé pour la Paix

Publié le 19 septembre 2024
Modifié le 19 septembre 2024
Résumé actualité
Échirolles a accueilli durant trois jours une délégation du centre socio-culturel du camps de réfugiés d’Askar, avec lequel elle entretient une coopération depuis 18 ans. Avec en point d’orgue une belle démonstration de Dabké, la danse traditionnelle de palestinienne, ce mercredi à la salle des fêtes.
Paragraphs
Image
Image
La maire Amandine Demore, Amjar Rfaie, directeur du centre d'Askar, Zaïm Bouhafs, adjoint aux projets jeunes à l’international et à la coopération avec le camp d'Askar, de gauche à droite, avec un autre responsable du camp, ont uni leurs voix pour appeler à la Paix.
Descriptif Image
La maire Amandine Demore, Amjar Rfaie, directeur du centre d'Askar, Zaïm Bouhafs, adjoint aux projets jeunes à l’international et à la coopération avec le camp d'Askar, de gauche à droite, avec un autre responsable du camp, ont uni leurs voix pour appeler à la Paix.
Texte

A observer l’énergie communicative déployée ce mercredi soir par la quinzaine de jeunes danseurs et danseuses du centre d’Askar sur la scène de la salle des fêtes, on ne pouvait douter de leur joie d’être à Échirolles. “Je suis très fier et excité d’être là, clamait ainsi Rayan, l’un des danseurs âgé 18 ans. C’est la première fois que je viens à Échirolles, et c’est très important pour moi de pouvoir échanger avec des jeunes et de montrer ce que nous savons faire”.
Durant trois jours, ils ont ainsi rencontré la maire Amandine Demore et l’adjoint au Zaïm Bouhafs à l’hôtel de ville, mais aussi de jeunes échirollois du secteur Ouest à l’espace jeunes Picasso, avec lesquels ils ont échangé sur leurs vies quotidiennes, leurs attentes, leurs espoirs, avant de visiter le parc Picasso et la Luire. Ils se sont aussi rendus à Saint-Nizier et ont échangé avec des personnes venues assister aux répétions.

Un partenariat à développer

Des moments de rencontres et de partages que Zaïm Bouhafs espère pouvoir développer à l’avenir. “Ce serait bien que de jeunes échirollois puisse se rendre en Cisjordanie pour voir le camps. Nous espérons pouvoir continuer et développer ce partenariat engagé avec Askar il y a 18 ans.
Amjad Rfaie, directeur du centre, n’en attend pas moins : “Nous voulons faire évoluer ce parrainage vers un jumelage avec l’ensemble du camps. Nous sommes venus pour montrer la résistance du peuple palestinien à travers la danse, montrer que nous agissons pour la Paix et plus d’humanité.”
Un vœu de Paix réitéré à l’unissons avec la maire Amandine Demore sur la scène de la salle des fêtes avant que la troupe de jeunes danseurs et danseuses baptisé Mashall ne reprennent leur joyeuse sarabande devant un public garni… Mashall, flambeau en Arabe, comme le symbole d’une lueur d’espoir qui brille toujours !

Image
Image
La salle des fêtes a été le théâtre d'une belle rencontre entre les musiciens de la BatukaVI et les danseurs de palestiniens de Mashaal.
Descriptif Image
La salle des fêtes a été le théâtre d'une belle rencontre entre les musiciens de la BatukaVI et les danseurs de palestiniens de Mashaal.