Festi'Viscose : Les jeunes à l'honneur

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Festi'Viscose : Les jeunes à l'honneur

Publié le 10 juin 2024
Modifié le 11 juin 2024
Résumé actualité
La troisième édition de la fête du quartier de la Viscose a été l’occasion d’inaugurer les bancs en mosaïque imaginés et créés par les jeunes, et de mettre en lumière leur travail et leur engagement.
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Festi'Viscose : Les jeunes à l'honneur
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70 jeunes ont participé à la réalisation des bancs sur la place du P'tit Viscose avec l'association Dounia. Un joli travail réalisé grâce à l'implication de la MDH Ponatière, des directions sports, prévention et jeunesse de la Ville, salué par les représentantes de la Ville, d'Alpes-Isère Habitat et de l'association des habitants du quartier.
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70 jeunes ont participé à la réalisation des bancs sur la place du P'tit Viscose avec l'association Dounia. Un joli travail réalisé grâce à l'implication de la MDH Ponatière, des directions sports, prévention et jeunesse de la Ville, salué par les représentantes de la Ville, d'Alpes-Isère Habitat et de l'association des habitants du quartier.
Texte

70 jeunes de la Viscose de 9 à 20 ans ont participé à la fabrication de deux bancs en mosaïque – le troisième le sera prochainement –, avecl'artiste mosaïste Aziz Chemingui, sur la place devant le P’tit Viscose. Un projet qui fait suite à celui de fresque, dévoilée l’été dernier, en attendant celui de customisation des passages piétons, et qui illustre leur engagement pour leur quartier.
“La Viscose est un quartier où l’on ne peut rien faire sans les habitant-es et le bailleur, Alpes-Isère Habitat, soulignait Pierre Labriet, premier adjoint présent lors de l’inauguration. Ils ont un avis sur le mobilier urbain, la question de la gestion des déchets, de la sécurité… Il y a une dynamique très importante sur ce quartier. C’est une réappropriation positive avec ces bancs aujourd’hui, des équipements routiers demain”. “Ces bancs sont un très beau pari, se félicitait Elisa Amaïri, conseillère municipale à la Gestion urbaine de proximité. Les jeunes s’investissent, s’approprient l’espace public qui est aussi le leur”.