Libre expression octobre 2024

Groupe “Échirolles, citoyenne écologique et solidaire”

En octobre à Échirolles : un mois pour mieux manger !

Le Mois de la transition alimentaire, qui se déroule chaque année à la rentrée, met nos assiettes au cœur de la transition écologique. Nous vous proposons des animations conviviales, gratuites et ouvertes à toutes et tous, tout au long de ce mois.

Notre Ville a un engagement historique dans la lutte contre le dérèglement climatique, nous avons l’honneur d’avoir le plus haut niveau du label européen Territoire engagé pour la Transition climat-air-énergie. Nous avons voulu aller plus loin, avec un plan d’actions pour le développement de l’agriculture urbaine depuis 2022.

Très concrètement, cela se traduit par la création du verger participatif l’Atelier de Picasso que nous avons vu pousser tout au long de l’année 2023 dans le parc Ouest. Cette année, c’est au tour d’un jardin collectif aux Granges, avec des travaux qui débuteront dès cet automne.

Ce mois de la transition alimentaire est une pierre de plus à cet édifice : l’occasion de venir s’interroger, débattre et s’informer autour de la question éternelle : qu’est-ce qu’on mange ?

Une nourriture saine, locale et accessible à toutes et à tous, c’est possible et nous vous proposons de venir découvrir les animations conviviales et gratuites proposées par la Ville, le Centre Communal d’Action Sociale, les partenaires associatifs et les producteurs et productrices locaux.

Retrouvez le programme en cliquant ici.

Groupe “Échirolles, citoyenne écologique et solidaire”

Groupe sociaux-démocrates Echirollois, avec le Parti Socialiste, Place Publique, les Radicaux et les Citoyens

Après le Carrare, continuons dans la voie d’un aménagement partagé et partenarial

Le très récent épisode de l’évacuation du Carrare ordonné avec courage par la Maire d’Échirolles confirme la nécessité de continuer à mettre en œuvre un urbanisme partagé et en partenariat avec l’ensemble des acteurs.

Un urbanisme qui prend d’abord en compte avec lucidité les praticités et commodités d’accès pour les habitants, en prévenant les possibles dérives d’usage à court et moyen terme.

Un urbanisme qui prend aussi en compte la lutte contre le réchauffement climatique, avec de plus en plus de tènements en pleine terre, de plantations d’arbres et de végétaux, et quand cela est possible, l’ouverture en espace public de squares ou de parcs dans les nouveaux projets aménagés (à l’exemple du nouveau parc des templiers qui sera inauguré ce 9 octobre dans le secteur Commanderie/Frange Verte).

Un urbanisme qui offre enfin une mixité de solutions de logements, en équilibrant les besoins en logements aidés dans notre société en crise et de logements en accession ou en copropriétés gérées avec efficacité et suivi.

Appliquées depuis de nombreuses années à Échirolles, ces bonnes pratiques seront, à n’en pas douter, un atout pour l’aménagement futur de notre commune et le bien être des tous ses habitants, dans l’ensemble de ses quartiers.

Lætitia Rabih, Joseph Virone, Marie Rueda et Élise Amaïri 

Groupe “Changer Échirolles, c'est possible !”

Ne jamais regarder ailleurs

La situation de l’immeuble le Carrare est inédite. Au fil d’années de non prise en compte des alertes émises par les propriétaires et les riverains,
cette résidence privée a été réquisitionnée par les trafiquants devenant l’enjeu de la guerre des gangs. Que ce soit en plein centre-ville ou dans
n’importe quel autre quartier une telle situation n’est pas admissible. Elle est la conséquence d’années à regarder ailleurs. Notre groupe a, lors d’une précédente tribune, confirmé qu’il serait vigilant à ce que les actions entreprises ne soient pas que des coups médiatiques, et ne se limitent pas à demander vainement un commissariat, comme l’ont fait les maires précédents. L’évacuation et la fermeture du Carrare est enfin une prise de position concrète. Hélas, ce sont les propriétaires qui vont devoir subir les conséquences financières de l’irresponsabilité des trafiquants. Les travaux seront à leurs charges comme tous ceux déjà entrepris au fil de ces dernières années. Si l’Etat doit se doter de moyens humains et
répressifs pour enfin faire changer la peur de camp, notre ville doit se questionner sur sa politique de sécurité, d’urbanisme, et sur la coordination et l’articulation de ses moyens avec ceux de l’état, pour ne pas laisser s’enkyster ces situations pendant des années. Exiger que police et justice effectuent leur travail, ne nous dispense pas d’agir avec nos moyens sans attendre. La sécurité est un droit.

Groupe Changer Echirolles C’est Possible !